mardi 15 avril 2014

Le feu d'artifices continue !!!


Un IMMENSE merci à Hélène Combis.

http://www.franceculture.fr/2014-04-10-jean-jacques-rousseau-dans-votre-salon








Anne Rabaron, créatrice des costumes de Jean-Jacques



Après une formation en création textile-impression à l'École Supérieure des Arts Appliqués Duperré de Paris, elle s'oriente vers le costume de spectacle. Depuis 1990, elle a assuré la création et la réalisation de plus d'une soixantaine de productions de théâtre, d'opéra, de danse contemporaine, de cirque,  spectacles jeune public , etc... Elle collabore régulièrement avec la Compagnie du Matamore, que dirige Serge Lipszyc (Macbeth, La Nuit des Rois, Le Mariage de Figaro, Le Misanthrope…), aux chorégraphies de la compagnie Carré Blanc-Michèle Dhallu (Petit Bobo, Chiffonnade, Grand Large…), aux créations de l'Opéra-Studio de Genève, dirigé par le chef d’orchestre Jean-Marie Curti (Le Barbier de Séville, Don Giovanni, L'Enlèvement au sérail…). Elle a également réalisé la garde-robe de Tintin pour l'exposition permanente Moulinsart, d'après les dessins d'Hergé, au château de Cheverny. C’est sa deuxième collaboration avec William della Rocca, qu’elle a déjà habillé lors du spectacle Le Verger des Solitaires qui fut mis en scène par Anouch Paré et représenté au Musée national des Granges de Port-Royal au printemps 1993.



www.annerabaron.com


A ma demande, Anne a réalisé six costumes différents qui marquent l’évolution de Jean-Jacques au fil du récit de sa vie.

Les photos ci-dessous, signées Eric Valdenaire, sont davantage destinées à mettre en valeur le travail magnifique qu’Anne a réalisé au fil de ces six années qu’à témoigner de mon incarnation sur scène de Jean-Jacques Rousseau.



Costume des livres I à IV


Costume des livres V et VI


Costume des livres VII et VIII


Costume du livre IX


Costume des livres X et XI



Costume du livre XII




mardi 1 avril 2014

Un truc totalement dingue… et CHICissime ! dit-elle.


Jean-Jacques, coup de coeur dans Ça balance à Paris sur Paris Première.
Merci, Gaëlle Tchakaloff !